Le journaliste Yvan Stefanovitch va publier à la fin du mois un livre sur la gestion de Bertrand Delanoë à la Mairie de Paris («Bertrand le magnifique», Collection Enquête, éditions Flammarion, 360 pages.).
Ce livre passe au pilori la gestion de la Capitale faite par le Maire Socialiste. Monsieur Delanoë avait fortement critiqué la gestion de ses prédécesseurs. A priori celle du Maire PS n'est guère mieux. On pourrait prendre par exemple : entre 2001 et 2006, ces dépenses réelles de fonctionnement se sont envolées, grimpant de 3,899 à 5,117 milliards d'euros. Soit une augmentation de 31,2 % en six ans alors que l'inflation n'a progressé que de 11,2 % sur la même période. D'ixit le journaliste : Bertrand Delanoë n'a pas changé grand-chose au flux financier de subventions mis en place sous les deux mandatures précédentes. Seule nouveauté dans le paysage : les associations gays et lesbiennes connaissent une irrésistible ascension de leurs subventions, qui totalisent un montant d'environ 570 000 euros pour 2006. Bertrand Delanoë s'est montré nettement moins généreux cette année-là pour les Plongeurs cinéastes parisiens (subvention de 325 euros), le Comité de vol à voile de Paris (900 euros), la Pétanque du Marais (700 euros), le Club des parachutistes aviateurs français (400 euros), l'Association des pêcheurs sportifs et lanceurs parisiens (572 euros), les Restos du coeur (7 000 euros).
L'autre exemple encore plus flagrant est :Pas de solidarité avec les communes pauvres. La direction des finances de la mairie aurait trouvé une «astuce comptable» pour diminuer de plusieurs dizaines de millions d'euros la participation de la Ville au Fonds de solidarité de la région Ile-de-France (FSRIF). Un fonds pourtant destiné à améliorer les conditions de vie (crèches, gymnases…) des communes les plus pauvres de la région.
Et oui la gestion socialiste c'est ça !
Ce livre passe au pilori la gestion de la Capitale faite par le Maire Socialiste. Monsieur Delanoë avait fortement critiqué la gestion de ses prédécesseurs. A priori celle du Maire PS n'est guère mieux. On pourrait prendre par exemple : entre 2001 et 2006, ces dépenses réelles de fonctionnement se sont envolées, grimpant de 3,899 à 5,117 milliards d'euros. Soit une augmentation de 31,2 % en six ans alors que l'inflation n'a progressé que de 11,2 % sur la même période. D'ixit le journaliste : Bertrand Delanoë n'a pas changé grand-chose au flux financier de subventions mis en place sous les deux mandatures précédentes. Seule nouveauté dans le paysage : les associations gays et lesbiennes connaissent une irrésistible ascension de leurs subventions, qui totalisent un montant d'environ 570 000 euros pour 2006. Bertrand Delanoë s'est montré nettement moins généreux cette année-là pour les Plongeurs cinéastes parisiens (subvention de 325 euros), le Comité de vol à voile de Paris (900 euros), la Pétanque du Marais (700 euros), le Club des parachutistes aviateurs français (400 euros), l'Association des pêcheurs sportifs et lanceurs parisiens (572 euros), les Restos du coeur (7 000 euros).
L'autre exemple encore plus flagrant est :Pas de solidarité avec les communes pauvres. La direction des finances de la mairie aurait trouvé une «astuce comptable» pour diminuer de plusieurs dizaines de millions d'euros la participation de la Ville au Fonds de solidarité de la région Ile-de-France (FSRIF). Un fonds pourtant destiné à améliorer les conditions de vie (crèches, gymnases…) des communes les plus pauvres de la région.
Et oui la gestion socialiste c'est ça !
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